
Mon accompagnement
Adultes et adolescents
- Travailler la confiance en soi à partir de ses propres capacités
- Avoir un moment pour libérer des tensions, apaiser la colère…
- Préparer un évènement anxiogène, apprivoiser le stress
- Favoriser un sommeil réparateur
- Prendre du recul face à des aléas professionnels, en prévention du burn out ou face à des difficultés personnelles
- Intégrer un mieux-vivre dans son quotidien
Domaine de la santé
Accompagnement du malade, des soignants et des aidants :
La maladie, qu’elle soit de courte ou de longue durée entraine des bouleversements physiques et psychologiques. Elle s’accompagne souvent de douleurs physiques ou morales voir même existentielles. Elle peut être source d’anxiété, d’insomnies, l’image du corps est parfois perturbée…
La sophrologie peut permettre de mieux accepter la douleur, de se préparer à certains examens anxiogènes, de se détendre et de retrouver des ressources intérieures.
Elle peut aider les soignants à garder une juste distance émotionnelle.
Elle accompagne aussi les aidants à prendre du recul et se ressourcer
Attention, la sophrologie ne soigne pas, mais vient en complément d’un traitement médical (avec accord du médecin).
En entreprise
Prévention des risques psychosociaux, prévention de l’épuisement professionnel, amélioration de la qualité de vie au travail (QVT).
Préserver la santé mentale en entreprise : le travail, bien qu’il puisse renforcer notre identité professionnelle et renforcer notre sentiment d’appartenance sociale, peut aussi causer des problèmes de santé mentale.
Il est courant de croire que le travail ne peut pas avoir d’effet néfaste sur notre santé mentale et qu’il est nécessairement lié à une faiblesse psychologique. En réalité, le travail a connu de profondes transformations, qui peuvent engendrer des effets particulièrement néfastes sur la santé.
Le rythme de la vie s'est emballé et l'évolution technologique modifie de façon importante l’activité de travail, à un rythme où l’homme parfois, n’a plus le temps de s’adapter aux changements permanents.
Le risque de souffrance au travail ou de burnout augmente lorsqu’une entreprise, ou un poste de travail cumule certains facteurs. Ces facteurs sont aujourd’hui clairement identifiés par l’INRS qui les classent en six grandes catégories (INRS, 2019).
– L’intensité du travail : Plus la durée du travail est élevée, plus le rythme est intense, et plus le risque augmente
– Les exigences émotionnelles : Certains métiers ou certaines cultures d’entreprise impliquent de maîtriser ses propres émotions et de montrer, à la place, des émotions jugées appropriées.
– Le manque ou la perte d’autonomie : Lorsque nous n’avons pas le pouvoir de nous organiser à notre façon et de mettre à profit notre expérience pour atteindre les objectifs qui nous sont fixés. Cela inclut le fait d’avoir peu de marge de manœuvre.
– Les relations dégradées entre collègues Cette catégorie inclut les relations avec les collègues ou avec la hiérarchie, la reconnaissance, l’entraide, l’équité entre collaborateurs dans les efforts demandés et les avantages octroyés…
– Les conflits de valeurs : Il peut exister un conflit entre ce qui est exigé de nous au travail et nos valeurs professionnelles, personnelles ou sociales
– L’insécurité vis-à-vis de l’avenir : Plus nous éprouvons d’insécurité par rapport à notre emploi, plus le risque de souffrance augmente.